Jacques Maritain Centre GC
1. Comme le philosophe prouve (. De Anima II), les résultats de la sensation par le sujet sensible étant déplacé ou impressionné par les choses sensibles externes: d'où un homme ne peut pas avoir une sensation sans quelque chose sensible externe, * que rien ne peut être déplacé sans moteur . L'organe sensoriel est donc déplacé et impressionné dans la sensation, mais qui est par l'objet sensible externe. Ce qui reçoit l'impression est le sens, comme il ressort de ce que les choses insensées ne reçoivent pas une telle manière d'impression des objets sensibles. Le sens est donc la puissance passive de l'organe sensoriel. L'âme sensible donc dans la sensation ne joue pas le rôle de moteur et de l'agent, mais ce principe dans le sujet impressionné, en vertu de laquelle ledit sujet est ouvert à l'impression. Mais un tel principe ne peut être différent d'être du sujet impressionné. Par conséquent, l'âme sensible ne diffère pas d'être du corps animé.
2. Bien que le mouvement est l'acte commun de la force en mouvement et de l'objet déplacé, il est encore une activité à conférer un mouvement et une autre pour recevoir le mouvement: d'où les deux plusieurs catégories d'action et de passion. Si donc dans la sensation se l'âme sensible pour l'agent, et le corps du patient, il y aura une activité de l'âme et une autre du corps. L'âme sensible donc aura une activité et le mouvement propre de sa propre: il aura donc sa propre subsistance. Par conséquent, lorsque le corps dépérit, il ne cessera pas d'être * Ainsi les âmes sensibles, même des animaux irrationnels, sera immortel ; qui semble improbable, bien qu'il ne soit pas en désaccord avec l'opinion de Platon. Mais cela sera question d'enquête plus loin (chap. LXXXII).
3. Un corps déplacé ne prend pas son espèce en fonction de la puissance qui le déplace. Par conséquent, si l'âme est seulement unie au corps comme moteur pour déplacer, le corps et ses parties ne prennent pas leurs espèces de l'âme: donc, quand l'âme quitte le corps et les parties restent de la même espèce. Mais cela est manifestement faux: pour la chair et les os et les mains et les parties, après le départ de l'âme, ne conservent pas leur propre nom que par une façsur de Speaking; * car aucune de ces parties conserve son activité propre, et l'activité suit les espèces. Par conséquent, l'union de l'âme et du corps est celui de ne pas Mover déplacé, ou d'un homme avec sa robe.
6. Si l'âme est unie avec le corps seulement comme moteur avec déplacé, il sera dans la puissance de l'âme pour sortir du corps quand il le souhaite, et, quand elle le souhaite, de se réunir avec le corps. * Ce l'âme est unie avec le corps comme la forme appropriée du même, est ainsi prouvé. Ce par quoi une chose émerge du potentiel d'être réel, est sa forme et son actualité. Mais l'âme du corps émerge de virtualité à la réalité: pour l'être d'une chose vivante est sa vie: d'ailleurs la graine avant l'animation est seulement potentiellement en vie, et par l'âme, il est fait en fait vivant: * l'âme est donc la forme du corps animé. Encore une fois: dans le cadre est à la partie, est donc toute âme sensible à tout le corps. Mais la vue est la forme et la réalité de l'œil: * donc l'âme est la forme et la réalité du corps.